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    Saloperies de Bifaces ! Meuh NOoonn , les PFAS ! mais késkecé ? (dans Sciences CQFD / F Inter)

     

     

    mais aussi sur ARTE

     

    Le

    film

    DARK WATERS

    projeté au parlement européen

    en présence de l'équipe du film

    et de l'avocat à l'origine de la procédure

     

     

     

     

     


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    Le texte du traité de Sun Zi, dont treize chapitres nous sont parvenus, aborde tout ce qui touche à l’élaboration de la stratégie et à la conduite des batailles. S’il présente l’étude de la guerre comme vitale pour la survie des États, il prend aussi en considération le coût économique, moral, et politique de la guerre ; il expose également les critères d’évaluation auxquels chaque prince et général doit recourir pour estimer l’adversaire et n’engager le combat qu’en étant sûr d’emporter la victoire. Certains éléments caractéristiques se dégagent qui sont l’autonomie du militaire — le général — par rapport au politique — le prince — une fois la décision de combattre prise, l’importance fondamentale de la ruse, et la nécessaire pratique de l’espionnage. Les préceptes stratégiques de Sun Zi sont de trois ordres.

    D’abord, l’acmé de la stratégie militaire est d’obtenir la victoire sans effusion de sang. Ce premier point est la résultante directe de la prise en considération du coût économique, moral et politique de la guerre dans un monde où celle-ci se pratique au sein d’une même société, la Chine impériale, et vise à l’accaparement des ressources et l’assujettissement des vaincus. Nul intérêt, chez Sun Zi, de détruire les ressources convoitées ou de tuer ceux qui seront demain nos sujets. La notion d’ennemi héréditaire n’existe pas encore.

    Ensuite, la guerre consiste fondamentalement en la recherche d’un avantage comparatif, et il s’agit moins d’anéantir l’adversaire que de lui faire perdre l’envie de se battre. Ce deuxième point implique de faire un usage de la force qui soit justement proportionné à la nature de l’objectif politique poursuivi. Il est fondamental, chez Sun Zi, de s’économiser, de ruser, de déstabiliser, et de ne laisser au choc que le rôle de coup de grâce assené à un ennemi désemparé.

    Enfin, la connaissance de l’adversaire est le facteur-clef de toute victoire militaire. Ce troisième point est la projection directe dans les affaires militaires d’une philosophie traditionnelle chinoise qui tient en haute estime l’intelligence et le savoir en général. L’espionnage, chez Sun Zi, est le pinacle de l’action militaire ; procédé par lequel un chef de guerre peut avoir une vue d’ensemble de la situation et, le cas échéant, savoir à l’avance et sans craindre de se tromper qui gagnera et qui perdra la guerre.

     

    L'AGARE DE L'ERT


  • SAN

     

     

     

     


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    T4, plongée au coeur du corps

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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